LES NOUVELLES DE L'ÉNERGIE
Pas de grève pour les fantômes !
Plus personne dans vos locaux en ce jour de grève nationale ? Enfin ça, c'est ce que vous croyez... Avez-vous bien regardé autour de vous ?
Pourtant, les fantômes énergétiques sont encore bien là, ils rodent silencieusement dans vos bureaux. Et si, vous profitiez de cette journée d'inactivité dans votre entreprise pour les débusquer !
Mais commençons par le commencement, qu'est-ce qu'une consommation fantôme ?
Aymeric Thomas est cascadeur énergéticien. Il dresse le portrait robot de ces consommations inutiles qui pèsent sur les factures d'énergie des entreprises.
Pourtant, les fantômes énergétiques sont encore bien là, ils rodent silencieusement dans vos bureaux. Et si, vous profitiez de cette journée d'inactivité dans votre entreprise pour les débusquer !
Mais commençons par le commencement, qu'est-ce qu'une consommation fantôme ?
Aymeric Thomas est cascadeur énergéticien. Il dresse le portrait robot de ces consommations inutiles qui pèsent sur les factures d'énergie des entreprises.
En phase d'arrêt, on peut regarder quelle est la consommation fantôme.
Ça tombe bien, aujourd'hui, votre entreprise est à l'arrêt ! Voyez le bon côté des choses, c'est le moment de partir à la chasse aux fantômes et de leur octroyer un régime spécial.
En effet, la chasse aux fantômes est l'activité la plus rentable de la sobriété énergétique.
Même pas besoin de combinaison spéciale ou d'aspirateur à fantômes comme dans le film Ghostbusters. Tout va se passer au niveau de votre compteur LINKY.
Pour trouver les fantômes et leur offrir une retraite bien méritée, il faut d'abord regarder la consommation instantanée sur votre compteur. Tous les W ou kW de cette consommation instantanée représentent des milliers d'euros annuels pendant votre absence.
Il faut donc les trouver et les supprimer un à un, comme l'explique notre cascadeur énergéticien.
Quand il n'y a pas de production, la consommation doit tendre vers zéro.
Votre mission si vous l'acceptez : quand le local est fermé plus rien ne doit consommer d'énergie.
Parmi les consommations fantômes les plus souvent rencontrées, vous pourrez retrouver le chauffage, la ventilation, l'éclairage, l'informatique ou les équipements techniques.
Pas besoin de préavis pour partir à la chasse aux fantômes, alors c'est à vous de jouer ! Et pour devenir un véritable expert des fantômes énergétiques, n'hésitez pas à consulter notre guide gratuit dédié.
Pas besoin de préavis pour partir à la chasse aux fantômes, alors c'est à vous de jouer ! Et pour devenir un véritable expert des fantômes énergétiques, n'hésitez pas à consulter notre guide gratuit dédié.
Ressources pour aller plus loin
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vers vos économies !
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CLIMATISATION ET VENTILATION
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L'ESSENTIEL AVEC...
Carine Lopes
Auditrice management de l'énergie
1/5
La climatisation et la ventilation représente aujourd’hui le 3ème poste énergétique des entreprises de service derrière le chauffage et l'éclairage.
Il totalise à lui seul près de 15 % de nos consommations énergétiques.
2/5
Si l'entreprise est fermée, la climatisation est arrêtée.
En effet, la climatisation sert avant tout à assurer du confort aux occupants. Alors, si l’entreprise ou la boutique est fermée, il n'y donc aucun confort à apporter, donc pas de climatisation.
3/5
Si le système est programmable,
il suffit de configurer les horaires de début et de fin selon vos horaires d'ouverture.
il suffit de configurer les horaires de début et de fin selon vos horaires d'ouverture.
Si le système nécessite une intervention humaine, assurez-vous que le dernier qui quitte l'entreprise coupe la climatisation et que le premier arrivé mette en route le système.
4/5
Quelle est la température à laquelle il est recommandé de déclencher la climatisation ?
Il est recommandé d'avoir une température de consigne à 26°C. Si cela vous semble trop, réglez la climatisation en respectant un écart de 6°C max avec la température extérieure.
Il est recommandé d'avoir une température de consigne à 26°C. Si cela vous semble trop, réglez la climatisation en respectant un écart de 6°C max avec la température extérieure.
5/5
Selon l'Ademe, en période estivale, passer d’une température de 22°C à 26°C divise par deux l’énergie consommée.
-
Je coupe la climatisation quand l'entreprise n'est pas en activité
-
J'adopte une température de consigne à 26°C
exemples de bonnes pratiques
ouvrir les fenêtres le matin quand l’air est plus frais
refermer dès qu’il devient plus chaud
occulter les fenêtres (stores/volets) dès qu'elles sont au soleil
mettre des films anti-chaleur sur les fenêtres
fermer les portes pour éviter que l'air chaud de l'extérieur ne rentre
fermer les portes pour éviter que l'air chaud de l'extérieur ne rentre
installer des portes sur les meubles frigorifiques des commerces alimentaires
si la climatisation est en marche, ne pas ouvrir les fenêtres. Le système de climatisation perd en efficacité et consomme encore plus d’énergie
s'assurer que la ventilation fonctionne correctement (débit d’air suffisant)
MOBILITÉ
par Carine Lopes
Auditrice management de l'énergie
1/9
78% des dirigeants d’entreprise et 80% des salariés considèrent la mobilité comme une problématique majeure selon le baromètre de la mobilité durable d’Opinion Way.
2/9
Lorsque l'on parle de mobilité,
il faut prendre en compte deux types de déplacements : ceux liés à l'activité de l'entreprise comme les déplacements liés aux livraisons ou les déplacements professionnels des collaborateurs et ceux liés aux déplacements domicile/travail des collaborateurs.
il faut prendre en compte deux types de déplacements : ceux liés à l'activité de l'entreprise comme les déplacements liés aux livraisons ou les déplacements professionnels des collaborateurs et ceux liés aux déplacements domicile/travail des collaborateurs.
3/9
La plupart des déplacements professionnels, se font en véhicule et dans la majorité des cas, il n'y a qu'une seule personne à bord. La voiture représente encore 60% des trajets de moins de 5 kms, et sur ces trajets, la voiture consomme en moyenne 2 fois plus que sur les trajets longs.
4/9
En moyenne, les déplacements professionnels représentent le 2e poste de dépenses dans les entreprises. D’après une étude de Spendesk, en mars 2022 en France, les dépenses mensuelles moyennes des déplacements professionnels s’élevaient
à 3 863 € par entreprise.
à 3 863 € par entreprise.
5/9
Réaliser le suivi kilométrique de vos véhicules et le suivi des consommations de carburant pour chiffrer le coût de ce poste. Pour les déplacements des collaborateurs, faire le suivi des notes de frais et analyser les modes de déplacement (train, voiture, taxi...)
6/9
La loi d’Orientation des Mobilités promulguée en décembre 2019, impose à toutes les entreprises de plus de 50 salariés, sur un même site, d’aborder la question de la mobilité dans les NAO (Négociations Annuelles Obligatoires) menées entre l’employeur et les représentants du personnel.
7/9
Afin de trouver des accords sur :
- les modes de transport durables mis à disposition pour les trajets domicile-travail
- le montant du Forfait Mobilités Durables (FMD) mis en place pour chaque salarié qui fait le choix de la mobilité douce (train, bus, vélo, trotinette, gyropode...)
8/9
Depuis le 1er janvier 2023, l’Etat met en place une prime de 100€ pour soutenir le covoiturage. Cette prime covoiturage a pour objectif d’encourager les automobilistes à changer leurs habitudes de mobilité sur leurs trajets quotidiens.
9/9
Et le télétravail ?
Selon l'Agence Internationale de l'Énergie (IEA) l’instauration d’un jour de télétravail par semaine permettrait de réduire la consommation de pétrole d’environ 170 000 barils de pétrole par jour. Mais seulement 30% des emplois en France sont télétravaillables.
-
Je fais le bilan des déplacements professionnels et des livraisons
-
Je lance le projet de mobilité de mon entreprise
exemples de bonnes pratiques
penser à l'optimisation d'une tournée en fonction des clients à visiter
co-voiturer entre collègues
réaliser un rendez-vous ou une réunion en visio plutôt qu'en physique
réaliser un rendez-vous ou une réunion en visio plutôt qu'en physique
faire appel à un transporteur plutôt que de réaliser vous même les livraisons
inciter à prendre les transports alternatifs (train, bus, taxi, vélo) plutôt que la voiture.
inciter à prendre les transports alternatifs (train, bus, taxi, vélo) plutôt que la voiture.
pour un trajet inférieur à 800 kms préférer le train à l’avion
mettre à disposition un vélo à assistance électrique pour les déplacements de courte distance (maximum 5-10 kms)
choisir un véhicule adapté à vos besoins qui sera moins polluant qu'un véhicule non adapté (par exemple un véhicule électrique et plus léger)
adopter l'éco-conduite
réserver des places de parking pour les covoitureurs ou les véhicules électriques
instaurer le télétravail lorsque cela est possible
réserver des places de parking pour les covoitureurs ou les véhicules électriques
instaurer le télétravail lorsque cela est possible
Ils l'ont fait
Olvo, société spécialisée dans la livraison urbaine, a fait le pari du vélo cargo. Contrairement aux camionnettes, le vélo cargo a plusieurs avantages pour les livraisons en ville.
En zone urbaine dense, c’est plus rapide, plus écologique, moins bruyant et moins encombrant qu’une camionnette. En plus de ça, il peut passer un peu partout grâce aux aménagements routiers.
CLIMATISATION ET VENTILATION
par Carine Lopes
Auditrice management de l'énergie
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La climatisation et la ventilation représente aujourd’hui le 3ème poste énergétique des entreprises de service derrière le chauffage et l'éclairage.
Il totalise à lui seul près de 15 % de nos consommations énergétiques.
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Si l'entreprise est fermée, la climatisation est arrêtée.
En effet, la climatisation sert avant tout à assurer du confort aux occupants. Alors, si l’entreprise ou la boutique est fermée, il n'y donc aucun confort à apporter, donc pas de climatisation.
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Si le système est programmable,
il suffit de configurer les horaires de début et de fin selon vos horaires d'ouverture.
Si le système nécessite une intervention humaine, assurez-vous que le dernier qui quitte l'entreprise coupe la climatisation et que le premier arrivé mette en route le système.
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Quelle est la température à laquelle il est recommandé de déclencher la climatisation ?
Il est recommandé d'avoir une température de consigne à 26°C. Si cela vous semble trop, réglez la climatisation en respectant un écart de 6°C max avec la température extérieure.
5/5
Selon l'Ademe, en période estivale, passer d’une température de 22°C à 26°C divise par deux l’énergie consommée.
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Je coupe la climatisation quand l'entreprise n'est pas en activité
-
J'adopte une température de consigne à 26°C
exemples de bonnes pratiques
ouvrir les fenêtres le matin quand l’air est plus frais
refermer dès qu’il devient plus chaud
occulter les fenêtres (stores/volets) dès qu'elles sont au soleil
mettre des films anti-chaleur sur les fenêtres
fermer les portes pour éviter que l'air chaud de l'extérieur ne rentre
fermer les portes pour éviter que l'air chaud de l'extérieur ne rentre
installer des portes sur les meubles frigorifiques des commerces alimentaires
si la climatisation est en marche, ne pas ouvrir les fenêtres. Le système de climatisation perd en efficacité et consomme encore plus d’énergie
s'assurer que la ventilation fonctionne correctement (débit d’air suffisant)
Ils l'ont fait
Olvo, société spécialisée dans la livraison urbaine, a fait le pari du vélo cargo. Contrairement aux camionnettes, le vélo cargo a plusieurs avantages pour les livraisons en ville.
En zone urbaine dense, c’est plus rapide, plus écologique, moins bruyant et moins encombrant qu’une camionnette. En plus de ça, il peut passer un peu partout grâce aux aménagements routiers.
EAU CHAUDE SANITAIRE
par Aymeric Thomas
Cascadeur énergéticien
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Un chauffe-eau de 200L consomme 2 kWh/ jour par jour juste en maintien de température, soit 730 kWh/ an donc environ de 150€ à 450€.
La consommation d'eau chaude sanitaire fournie par un ballon est estimée à 40 litres par jour.
La consommation d'eau chaude sanitaire fournie par un ballon est estimée à 40 litres par jour.
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2/10
3/10
Quand et où a-t-on besoin d'eau chaude ? Il est important de comprendre le service rendu par cette eau chaude, si elle est nécessaire ou non.
Dans les sanitaires, est-il nécessaire de se laver les mains à l'eau chaude ? La vaisselle peut-elle se faire à l'eau froide ?
4/10
Après analyse de vos usages ou après avoir coupé votre ballon d'eau chaude, le constat est que l'eau chaude s'avère nécessaire pour votre activité, pour les clients dans les salles de bains des hôtels, pour le lavage des sols, des ustensiles en cuisine etc...
Voyons comment optimiser vos consommations d'eau chaude.
5/10
En France, le coût du m3 d'eau chaude est de 3 à 4€.
L'eau chaude fait partie des usages dont on ne sait plus définir, ni identifier le coût, hors il peut être extrêmement important. Il est nécessaire de mettre en place des comportements hydroéconomes.
6/10
Quelle température ?
Plus on a de connaissance sur l'usage plus on peut adapter la ou les meilleures solutions.
Plus on a de connaissance sur l'usage plus on peut adapter la ou les meilleures solutions.
Il est recommandé pour des installations nécessitant de l'eau chaude de mettre un compteur sur le départ de la production afin d'identifier au mieux les consommations.
7/10
Dans la la production d'eau chaude, on distingue trois principes :
⚬ la production instantanée :
Gros appel de puissance mais ponctuel. Par exemple : robinet chauffant instantanément pour le lavage des mains, puissance de 3000W. Pertinent pour les usages ponctuels ou excentrés
8/10
⚬ la production par accumulation
Puissance moindre mais consommation liée au maintien du volume d'eau chaude à 50°C
Ex : Un ballon de 200 Litres à une puissance de 2000W mais il consomme 2kWh par jour pour rester à 50°C
9/10
⚬ La production Thermodynamique :
La puissance est 5 à 6 fois inférieur à la puissance d'un ballon à accumulation mais il faudra plus de temps pour produire les 200 Litres.
La consommation énergétique reste moindre 6000Wh pour le ballon électrique et 2400Wh pour le ballon thermodynamique.
10/10
Comme à chaque ressource, il faut comprendre quel service rend l'eau chaude, associé à une localisation et un temps dans la journée de production.
Pour quel usage ai-je besoin d'eau chaude ?
Où ai-je besoin d'eau chaude ?
Quand ai-je besoin d'eau chaude ?
-
Je coupe le ballon d'eau chaude pour comprendre quels sont les besoins réels en eau chaude
-
Je diminue la température d'eau chaude de mon ballon afin d'identifier la température la plus adaptée à l'usage
-
Je choisis les équipements les plus adaptés à mes besoins
exemples de bonnes pratiques
opter pour des comportements hyrdoéconomes
couper le ballon d'eau chaude la nuit
rincer la vaisselle à l'eau froide
se laver les mains à l'eau froide
identifier mes besoins en eau chaude
baisser la température du chauffe-eau
couper le ballon d'eau chaude la nuit
rincer la vaisselle à l'eau froide
se laver les mains à l'eau froide
identifier mes besoins en eau chaude
baisser la température du chauffe-eau
installer des mousseurs permet de réduire le débit de l'eau qui s'écoule de votre robinetterie sans nuire à votre confort d'usage et de gagner de 30 à 60% d'économies
Ils l'ont fait
L'entreprise Groupe Interactions avait dans son local de bureau de 140m2 un petit chauffe-eau sous évier de 30L. En fin de vie de ce dernier, la question s'est posée de savoir s'il fallait prévoir un remplacement ou pas, en raison de l'unique consommation à des fins de lavage des mains. Afin de conserver le confort des collaborateurs, l'entreprise a opté pour l'installation d'un robinet chauffe-eau instantané. L'investissement a été de 99€ tout compris, contre 320€ pour un chauffe eau, et pour l'usage que l'entreprise en a, cela suffit amplement.
PRODUIRE SON ÉNERGIE
par Aymeric Thomas
Cascadeur énergéticien
1/5
Le prix de l'énergie pourrait être multiplié par 5 entre les contrats signés début 2022 et ceux qui seront signés en 2030.
Avez-vous fait un rapide calcul estimatif de ce que pourraient coûter vos consommations énergétiques en 2030 ?
Avez-vous fait un rapide calcul estimatif de ce que pourraient coûter vos consommations énergétiques en 2030 ?
Quel serait le coût de l'inaction en 2030 ?
2/5
Investir dans son propre système d'énergie permet d'obtenir un prix de l'énergie connu et constant pendant une vingtaine d'années.
Le coût de revient de mon propre système de production est déjà inférieur au prix de l'énergie que j'achète aujourd'hui sur le réseau public (gaz ou électricité).
3/5
Mais attention à ne pas se jeter tête baissée sur la solution qui pourrait paraître la plus simple.
Produire sa propre énergie demande une prise de décision importante sur les investissements.
Se faire accompagner par un expert sur le design de mon projet, le dimensionnement et la sélection des solutions.
4/5
Alors, comment on fait ?
Il existe plusieurs types de production :
• photovoltaïque
• éolien
• solaire thermique
• géothermique
• par cogénération, etc.
5/5
Avant de se lancer, il faut bien analyser :
- Mon profil de consommation
- Mes démarches administratives, réglementaire, techniques.
- Mes possibilités de conception du système de production (autoconsommation individuelle, collective, vente en surplus, en totalité, en obligation d'achat, à un acheteur au marché, etc.)
-
Mes profils de consommations définissent la pertinence de produire ma propre énergie
-
Je tiens compte des différentes possibilités offertes
exemples de bonnes pratiques
opter pour des comportements hyrdoéconomes
installer des mousseurs permet de réduire le débit de l'eau qui s'écoule de votre robinetterie sans nuire à votre confort d'usage et de gagner de 30 à 60% d'économies
Ils l'ont fait
Aude, gérante d'une maison de champagne, a fait le choix d'investir 67 000 euros HT dans un système de production photovoltaïque. Aujourd'hui, cette production couvre 35% de son besoin en électricité. Un calcul sur 20 ans permet de dire que le prix de revient de son énergie produite se situe aux alentours de 126 euros/MWh. C'est un investissement gagnant dès maintenant car en 2022 prix de l'électricité consommée sur le réseau public est de 143 euros/MWh consommé (et il devrait augmenter au fil des années).
NUMÉRIQUE
par Germain Chittaro
Expert numérique
1/10
Si Internet était un pays, il serait le 3ème plus gros consommateur d’électricité au monde !
À cette consommation liée aux usages, il faut ajouter la consommation d’énergie nécessaire sur l'ensemble du cycle de vie des produits.
2/10
Saviez-vous que votre entreprise consomme de l'électricité même les jours d'arrêt ?
75% des consommations du matériel informatique ont lieu en période d’inactivité.
75% des consommations du matériel informatique ont lieu en période d’inactivité.
3/10
Le saviez-vous ?
Il n'y a pas de risque particulier à éteindre un équipement numérique récent. Une attention est toutefois à porter au paramétrage de la mise à jour et de la sauvegarde de certains postes informatiques qui est parfois programmée la nuit.
Il n'y a pas de risque particulier à éteindre un équipement numérique récent. Une attention est toutefois à porter au paramétrage de la mise à jour et de la sauvegarde de certains postes informatiques qui est parfois programmée la nuit.
4/10
Lorsque l'entreprise est fermée, on coupe tout ! Afin d'être le plus efficace dans cette phase, vous allez devoir sensibiliser le personnel aux bonnes pratiques concernant l'utilisation des équipements et rappeler régulièrement les messages.
5/10
Attention aussi aux consommations improductives.
Ces consommations sont réalisées pendant les phases d'activité de votre entreprise.
L'enjeu ici va être de les déceler et de trouver des solutions pour les éliminer ou les transformer en consommations utiles.
6/10
Exemple de consommations productives / utiles :
- Recharge d'un appareil sans batterie
- Utilisation des applications ouvertes, sinon les fermer pour limiter la consommation
- Wifi en marche lors des phases d'activité
7/10
Quelques exemples de consommations improductives :
- Ouvrir beaucoup d'onglets sur son navigateur internet
- Garder les documents / emails dans sa corbeille
- Ne pas faire le tri dans ses documents sur son serveur
- Envoyer des emails à ses collègues dans le même bâtiment
8/10
Pour les éliminer :
- Recenser tous les matériels numériques de la société (type, utilité, année d'achat) et les usages associés
- Selon l'usage de l'appareil/de l'activité, définissez sa consommation comme utile ou improductive
9/10
Définissez vos besoins liés à vos usages du quotidien.
Cela vous permettra de faire ressortir les besoins fondamentaux de vos collaborateurs.
10/10
Pensez à acheter des produits seconde main "reconditionnés".
Moins onéreux, et cela évite par la même occasion, la fabrication d'un nouvel appareil
-
Je coupe tous les appareils numériques inutiles tous les soirs
-
J'élimine toutes les consommations improductives et optimise les consommations utiles
-
Je réfléchis en amont à mon besoin réel avant de m'équiper
exemples de bonnes pratiques
Si besoin, passez à la fibre si ce n'est pas fait
Utiliser du reconditionné lorsque cela est possible
Eteindre ses appareils dès que possible et ne pas les laisser en veille
Eteindre les écrans non indispensables
Stopper les emails avec des pièces jointes
Déployer un outil de travail collaboratif
Réduire le volume des données
Eteindre ses appareils dès que possible et ne pas les laisser en veille
Eteindre les écrans non indispensables
Stopper les emails avec des pièces jointes
Déployer un outil de travail collaboratif
Réduire le volume des données
Utiliser un moteur de recherche éco-responsable (exemple : Lilo ou Ecogine).
Mutualiser les imprimantes pour en reduire le nombre
Préférer les ordinateurs portables, moins énergivores que les ordinateurs fixes
Mutualiser les imprimantes pour en reduire le nombre
Préférer les ordinateurs portables, moins énergivores que les ordinateurs fixes
Lorsqu'il n'est pas possible d'acheter en reconditionné, pensez à investir dans du matériel informatique moins énergivore et plus écologique (label « energy star », EPEAT, label TCO).
Ils l'ont fait
Alain, gérant d'une PME à Grenoble : "Nous avons mis en place plusieurs actions afin d'essayer de limiter nos consommations d'énergie fantômes liées au numérique, comme éteindre les ordinateurs et les écrans en fin de journée, couper les appareils et ne pas les laisser en veille (box, TV, ordinateur, imprimante, etc), éteindre les écrans d'information non essentiels comme à l'accueil."
Au final, sa consommation d'électricité liée au numérique a baissé de 20%. De plus, ses appareils bénéficient d'une plus longue durée de vie.
Au final, sa consommation d'électricité liée au numérique a baissé de 20%. De plus, ses appareils bénéficient d'une plus longue durée de vie.
PROCESS DE MON ACTIVITÉ
par Aymeric Thomas
Cascadeur énergéticien
1/15
Le potentiel de récupération de chaleur sur les process, représente un peu plus de 1,66 millions équivalents logements.
Il est donc important de définir quels sont nos process, et leurs consommations.
Il est donc important de définir quels sont nos process, et leurs consommations.
2/15
Nous pouvons diviser, les process en 4 grandes catégories :
1 - Organisationnel
(espaces de travail)
2 - Logistique
(déplacement de personnes)
3 - Production
(production d'objet)
4 - Réalisation de services
(eau chaude dans les hôtels)
3/15
Publié en 2022 par l'ADEME, on estime un gisement de chaleur fatale restant à fin 2020 de près de 100 TWh dont 94,3 TWh en industrie.
Soit l'équivalent de la production électrique annuelle
de 17 réacteurs nucléaires.
4/15
Mais qu'est-ce que c'est la chaleur fatale ?
Lors du fonctionnement d’un process, l’énergie thermique produite grâce à l’énergie apportée n’est pas utilisée en totalité. Une partie de la chaleur est inévitablement rejetée.
5/15
C’est en raison de ce caractère inéluctable qu’on parle de « chaleur fatale ». Cependant, cette appellation est en partie erronée car la chaleur fatale peut être récupérée.
C’est seulement si elle n’est pas récupérée qu’elle est perdue.
6/15
La récupération et la valorisation de la chaleur fatale constituent un potentiel d’économies d’énergie à exploiter.
Alors, est-ce que la production ou la réalisation du service a été organisée en tenant compte des optimisations possibles de consommations énergétiques ?
Alors, est-ce que la production ou la réalisation du service a été organisée en tenant compte des optimisations possibles de consommations énergétiques ?
7/15
Une fois les process définis et localisés, il est nécessaire de :
⚬ Vérifier que ceux-ci ne consomment pas en période improductive
⚬ Vérifier les utilités afin d'être certain que celles-ci ne consomment pas d'énergie en période improductive
8/15
Pour la fabrication de produits :
⚬ Intégrer les consommations énergétiques dans les analyses de risques lors des conceptions de process
9/15
Pour les services :
⚬ Organiser l'implantation des bureaux en fonction de la sensibilité des collaborateurs à la température
⚬ Définir les modes de réalisation des services intégrant la préoccupation énergétique (réunions, déplacements, impressions...)
10/15
Un rejet = une deuxième vie possible ?
Quotidiennement nous le voyons sans l'analyser, un nombre très important d'appareils (informatique, reprographie, életroménager) rejette dans notre lieu d'activité de la chaleur issue de leur fonctionnement.
Quotidiennement nous le voyons sans l'analyser, un nombre très important d'appareils (informatique, reprographie, életroménager) rejette dans notre lieu d'activité de la chaleur issue de leur fonctionnement.
11/15
Le ventilateur de l'ordinateur souffle de l'air sur l'informatique pour la refroidir et amène un air chaud dans son lieu d'installation.
C'est la raison pour laquelle les locaux SERVEUR sont climatisés, mais si vous avez un besoin de chaleur à côté de celui-ci, vous pouvez, en hiver prendre l'air du local SERVEUR pour chauffer ou maintenir un local chaud à proximité.
12/15
C'est donc une cascade énergétique !
Le rejet, parfois important, d'un process peut avoir une utilité dans un autre usage de votre environnement de travail.
13/15
La récupération de la chaleur fatale conduit à :
✓ une valorisation en interne, pour répondre à des besoins de chaleur propres à l’entreprise
✓ une valorisation en externe, pour répondre à des besoins de chaleur d’autres entreprises, ou plus largement, d’un territoire, via un réseau de chaleur
14/15
Au-delà d’une valorisation thermique, la chaleur récupérée peut aussi être transformée en électricité.
Ainsi, les procédés industriels peuvent être mis en synergie : la chaleur récupérée sur un process peut servir à en alimenter un autre.
15/15
Le changement de génération d'un process peut permettre un gain très important sur les consommations énergétiques.
Les gains de performance peuvent donc être pertinents sur un temps de retour sur investissement plus rapide.
-
Je définis mes process et regarde à l'intérieur les économies d'énergies possibles
-
Je récupère la chaleur de mon process pour la réutiliser
-
J'investis dans des technologies plus sobres et plus efficaces
exemple de LA BOUCLE D'EAU
La boucle d'eau est un système de chauffage et de rafraîchissement fonctionnant à partir d'un réseau d'eau et qui fonctionne en boucle.
Dans ce système, l'eau est chauffée par une source de chaleur, telle qu'une chaudière ou un réchauffeur, elle est ensuite acheminée à travers un système de tuyaux vers des unités de pompes à chaleur réparties dans les bureaux ou les ateliers.
Chaque pompe à chaleur va alors puiser des calories dans l'eau pour créer de la chaleur dans la pièce ou bien injecter des calories dans l'eau pour créer du froid. Du coup, les besoins peuvent s'annuler ! L'énergie récupérée pour rafraichir un nodal informatique ou alimenter une chambre froide servira à chauffer l'établissement.
Autre avantage, le stockage d'énergie. La boucle d'eau fonctionne à partir d'une quantité importante de fluide qui agit comme un stockage de chaleur. Celui-ci permet de conserver l'énergie collectée pendant plusieurs jours pour encore plus d'économies.
Imaginez le potentiel de cette technologie qui permettrait de connecter et de stocker l'énergie thermique de panneaux solaires, ordinateurs, fours, chambres froides, compresseurs, radiateurs, climatiseurs... pour un total de consommation proche de 0.
C'est un bon exemple de cascade énergétique.
Ils l'ont fait
Alain, gérant d'une PME à Grenoble : "Nous avons mis en place plusieurs actions afin d'essayer de limiter nos consommations d'énergie fantômes liées au numérique, comme éteindre les ordinateurs et les écrans en fin de journée, couper les appareils et ne pas les laisser en veille (box, TV, ordinateur, imprimante, etc), éteindre les écrans d'information non essentiels comme à l'accueil."
Au final, sa consommation d'électricité liée au numérique a baissé de 20%. De plus, ses appareils bénéficient d'une plus longue durée de vie.
Au final, sa consommation d'électricité liée au numérique a baissé de 20%. De plus, ses appareils bénéficient d'une plus longue durée de vie.
PILOTAGE
par Aymeric Thomas
Cascadeur énergéticien
1/7
Le pilotage est la deuxième source d'économies après la diminution de la consigne de chauffage, cela représente une année de fonctionnement d'un réacteur nucléaire !
2/7
Si vous n'êtes pas dans le bâtiment, vous arrêtez tout !
Le pilotage permet de stopper les postes de consommation et de traquer les fantômes de consommation.
Piloter peut être fait manuellement.
3/7
Le soir, faites le tour de l'ensemble des équipements pour les couper :
1 - Chauffage
2 - Informatique
3 - Ballon d'eau chaude
4 - Ventilation
4/7
Le gérant est naturellement le pilote des énergies MAIS pour réussir et maintenir votre objectif d'économies dans le temps, il est nécessaire de partager ce pilotage.
Partager avec votre équipe et partager avec des assistants techniques !
5/7
Il est possible de tout piloter techniquement !
- Le chauffage assez facilement par un thermostat ou de manière centralisée
- L'eau chaude par une horloge ou un dispositif domotique
- La ventilation par une horloge
- L'informatique par des prises connectées
6/7
La 3ème étape est de rendre le pilotage automatique !
Il est nécessaire pour cela de mettre en place des équipements techniques :
1 - Appareils de suivi de consommation
2 - Appareils pour agir sur les équipements
7/7
Attention !
Ces éléments nécessitent une intervention dans le tableau électrique de la part d'un électricien.
-
Je pars, je coupe
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Je partage le pilotage
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Je passe au pilotage automatique
exemples de bonnes pratiques
Si besoin, passez à la fibre si ce n'est pas fait
Utiliser du reconditionné lorsque cela est possible
Eteindre ses appareils dès que possible et ne pas les laisser en veille
Eteindre les écrans non indispensables
Stopper les emails avec des pièces jointes
Déployer un outil de travail collaboratif
Réduire le volume des données
Eteindre ses appareils dès que possible et ne pas les laisser en veille
Eteindre les écrans non indispensables
Stopper les emails avec des pièces jointes
Déployer un outil de travail collaboratif
Réduire le volume des données
Utiliser un moteur de recherche éco-responsable (exemple : Lilo ou Ecogine).
Mutualiser les imprimantes pour en reduire le nombre
Préférer les ordinateurs portables, moins énergivores que les ordinateurs fixes
Mutualiser les imprimantes pour en reduire le nombre
Préférer les ordinateurs portables, moins énergivores que les ordinateurs fixes
Lorsqu'il n'est pas possible d'acheter en reconditionné, pensez à investir dans du matériel informatique moins énergivore et plus écologique (label « energy star », EPEAT, label TCO).
Ils l'ont fait
Alain, gérant d'une PME à Grenoble : "Nous avons mis en place plusieurs actions afin d'essayer de limiter nos consommations d'énergie fantômes liées au numérique, comme éteindre les ordinateurs et les écrans en fin de journée, couper les appareils et ne pas les laisser en veille (box, TV, ordinateur, imprimante, etc), éteindre les écrans d'information non essentiels comme à l'accueil."
Au final, sa consommation d'électricité liée au numérique a baissé de 20%. De plus, ses appareils bénéficient d'une plus longue durée de vie.
Au final, sa consommation d'électricité liée au numérique a baissé de 20%. De plus, ses appareils bénéficient d'une plus longue durée de vie.
PARTIES PRENANTES
par Gaëlle Bonhomme
Experte en motivations, ingénieur thermique
1/18
Le chef d'entreprise a besoin que son entourage adhère à sa politique de sobriété énergétique, sous peine de se démener seul à faire des efforts, et en plus de devoir rattraper les pertes liées à l'inattention de ses parties prenantes.
2/18
Les managers sont responsables à 70% des variations d'engagement des salariés
(étude Gallup).
(étude Gallup).
3/18
Dans le plan d'actions d'économies d'énergie, le chef d'entreprise se doit d'apporter beaucoup de transparence et de responsabilisation de son équipe, et ceci dès le début, sous peine de s'épuiser alors que les autres ne rament pas dans le même sens que lui.
4/18
Dans tout groupe d'individus, lorsqu'une innovation, un projet, une stratégie sont décidés, trois types de comportement apparaissent...
5/18
- Les moteurs ("j'aime aller de l'avant, contribuer à l'innovation") - Les attentistes ("ils nous ont encore pondu un nouveau truc en croyant révolutionner l'activité")
- Les passifs tendance saboteur (description censurée...).
- Les passifs tendance saboteur (description censurée...).
6/18
Comment est-ce que je peux convaincre mes collaborateurs du bien fondé de la démarche ?
Vous ne pouvez pas !
Car le vrai changement n'est possible que si chacun y trouve un sens : son propre sens.
Vous ne pouvez pas !
Car le vrai changement n'est possible que si chacun y trouve un sens : son propre sens.
7/18
C'est ce qu'il faut aller chercher pour chacun, chez chacun.
Chacun aura sa propre raison de s'impliquer qui pourra être différente : convictions personnelles, besoin de s'associer à l'effort du groupe, nécessité de montrer l'exemple...
8/18
L'important est que chacun puisse trouver sa raison de s'impliquer dans le mouvement.
Plus le changement est important, plus il doit venir des "tripes", c'est-à-dire qu'il doit venir se connecter à des valeurs de fond.
Plus le changement est important, plus il doit venir des "tripes", c'est-à-dire qu'il doit venir se connecter à des valeurs de fond.
9/18
C'est la raison pour laquelle une communication purement rationnelle ne suffit pas. Pour embarquer une équipe, il s'agit dans un premier temps d'incarner le projet, et ensuite d'aller chercher les motivations en profondeur.
10/18
Votre mission : déployer une démarche optimisée de sobriété énergétique en 8 points...
11/18
Je prends le temps de réfléchir à ce que cette démarche représente pour moi.
Qu'est-ce qui me déplaît dans la situation actuelle ? Qu'est-ce qui m'inquiète ou peut-être, me met en colère ? Qu'est-ce qui me donne envie dans ce projet ?
12/18
Sur la base de mes réflexions, je construis un projet
qui donne envie.
Qu'est-ce que j'ai envie de faire vivre à mes collaborateurs à travers ce projet ? Ce projet, il doit parler de vous, de vos motivations profondes.
13/18
Je présente le projet à l'équipe.
Les grandes lignes de ce que vous envisagez et surtout vos ressentis, votre envie, vos craintes et le sens que cela a pour vous.
14/18
Vous sondez le ressenti de chacun dans l'équipe.
Tous les ressentis sont présents en chacun, mieux vaut les entendre que chercher à les ignorer ! Ensuite, invitez chacun à se questionner sur le sens que ce projet aurait pour lui.
Tous les ressentis sont présents en chacun, mieux vaut les entendre que chercher à les ignorer ! Ensuite, invitez chacun à se questionner sur le sens que ce projet aurait pour lui.
15/18
Faites un appel au volontariat.
Qui aurait envie de participer ? sous quelle forme ? quels seraient les premiers chantiers à démarrer, qui pour y travailler ?
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Laissez les personnes s'organiser tout en restant en appui et en organisant un minimum de suivi.
L'énergie impliquée est plus importante tant qu'elle va dans le bon sens !
17/18
Je valorise les quick-win.
Ce sont les succès, mêmes modestes, obtenus rapidement. Les quick-win sont très motivants
18/18
On célèbre les succès...
...et on passe à la marche suivante du plan d'actions, en pensant bien à définir les ressources nécessaires et leur limite.
-
Je motive mon équipe en donnant du sens
exemples de bonnes pratiques
Utiliser des supports visuels intégrant des touches d'humour pour communiquer les résultats de la démarche de sobriété, et créer des évènements sur le sujet.
Étendre la démarche de sensibilisation et proposer les outils aux parties prenantes les plus proches (clients, prestataires, partenaires, fournisseurs, ...) et les associer au challenge entreprise si cela est possible.
Proposer des outils d'extension des bonnes pratiques (mesures de consommations et actions de sobriété) pour les salariés dans leur vie en dehors de l'entreprise (leur mobilité, leur domicile, leur consommation, leurs vacances, ...).
Doit se faire sur volontariat et avec le consentement écrit des salariés.
Ils l'ont fait
La société Initial Expertise à opté pour une stratégie d'association de ses collaborateurs dès le lancement de la démarche de sobriété énergétique, par le biais d'un jeu de type challenge de sobriété.
Cela a permis une implication à l'unanimité.
CONSOMMATIONS
par Aymeric Thomas
Cascadeur énergéticien
1/16
La première étape à suivre quand on se lance dans un plan d'actions en économie d'énergies est de mesurer ses consommations initiales.
Write your awesome label here.
2/16
3/16
Vos factures d'énergie vous donnent une vision globale de vos consommations. Mais ces données ne vous permettront pas de construire un plan d'action précis.
Pour cela vous aurez besoin de connaître votre consommation instantanée.
4/16
Comment je m'y prends ?
○ Votre compteur en instantané
○ Votre compteur en instantané
Que vous ayez un compteur Linky ou un compteur jaune, l'interface simple vous permet de retrouver votre puissance consommée instantanée.
5/16
○ Votre compteur Gazpar en instantané
C'est le cousin de Linky et il mesure votre consommation de gaz avec une lecture instantanée.
6/16
○ L'application de votre fournisseur
Application Enedis à mes côtés
Votre fournisseur peut collecter les données transmises par votre compteur électrique et vous les mettre à disposition au travers d'une interface en ligne ou bien d'une application connectée comme "Enedis à mes côtés" ou "EDF et moi". Ces services sont généralement gratuits.
7/16
○ Des applications spécialisées
Elles fonctionnent généralement en collectant en continu les données de votre compteur électrique. Vous pouvez retrouver des services comme Lite, Hello Watt, In-Tracks...
Ces services fonctionnent généralement par abonnement.
8/16
○ Par des équipements connectés
Solution Ecojoko
Vous pouvez également analyser vos consommations en installant un équipement de mesure sur votre compteur ou votre tableau électrique.
Une information précieuse pour identifier des pistes d'amélioration.
9/16
Pour mesurer votre consommation globale instantanée, commencez par couper tous vos appareils. Puis rallumez-les un à un !
Maintenant que vous connaissez votre point de base vous pouvez mettre en service (brancher, allumer ou connecter) vos différentes équipements.
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Attention, il faut attendre quelques secondes après la mise en service d'un appareil pour voir la consommation d'usage actualisée.
Une fois connu, cette consommation est à multiplier par le temps d'utilisation et vous connaîtrez le niveau de consommation de l'appareil.
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Voici la répartition des différents types de consommation :
Chauffage-climatisation : 30/50 %
Eclairage : 20 à 30 %
Digital : 25 %
Ventilation : 5 à 10 %
Divers (cuisine, ascenseurs, ECS, entretien) : 2 à 10 %
Par exemple, le choix de nos équipements informatiques
a une incidence directe sur notre consommation.
a une incidence directe sur notre consommation.
12/16
Le même graphique avec la consommation utile et les fantômes (nuit et week-end) de chaque appareil.
13/16
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On se heurte souvent dans cette chasse aux fantômes aux problématiques de gestion de caisse ou d'équipements informatiques.
Parfois, la mise à jour nécessite la connexion de l'informatique à une heure précise mais rien n'interdit de couper juste après.
16/16
Alors, on s'y met tout de suite ?
Oui, dès à présent, mais attendez ce soir quand même, que votre entreprise ne soit plus en activité.
Oui, dès à présent, mais attendez ce soir quand même, que votre entreprise ne soit plus en activité.
Et attention : alerte sur la sécurité, risque électricité et incendie, on a pas le droit de toucher au tableau électrique sans habilitation !
-
J'identifie mon application ou mon équipement pour connaître ma consommation et je vérifie mon abonnement
-
Je sais reconnaître les consommations fantômes, improductives et productives de mon établissement
-
Je sais démasquer les consommations fantômes
exemples de bonnes pratiques
M'assurer que mon contrat est adapté à ma consommation
Souscrire au suivi des consommations
Suivre la consommation de mes appareils
Installer des prises intelligentes
Installer un équipement de mesure sur mon compteur
Suivre la consommation de mes appareils
Installer des prises intelligentes
Installer un équipement de mesure sur mon compteur
Ils l'ont fait
Mathilde, créatrice de bijoux : "Je me suis aperçue que je consommais au maximum 7 kW. En cliquant de nouveau sur le + de mon compteur, quelle surprise en découvrant que mon contrat souscrit affichait 18 kVA."
Après avoir jeté un oeil au tableau des abonnements, Mathilde a pu souscrire une nouvelle puissance de 9 kVA plus appropriée à sa consommation réelle. Elle réalise ainsi 100 € d'économies chaque année.
Après avoir jeté un oeil au tableau des abonnements, Mathilde a pu souscrire une nouvelle puissance de 9 kVA plus appropriée à sa consommation réelle. Elle réalise ainsi 100 € d'économies chaque année.
BÂTIMENT
par Aymeric Thomas
Cascadeur énergéticien
1/15
Le repérage des points faibles de votre bâtiment est assez simple, il faut se fier à votre ressenti et celui de vos équipes.
On va distinguer 3 types de points faibles...
2/15
1 - Les défauts d'isolation entraînant une température
de paroi froide
Exemple : le plancher non isolé sur la cave ou la terre ayant une température de 10/12°C.
3/15
2 - Les entrées d'air nécessaires ou réglementaires
Exemple : les portes d'entrées, les entrées d'air pour la ventilation.
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3 - Les fuites d'air parasites
Exemple : les joints des fenêtres, les portes d'issue de secours ou vers les locaux non chauffés (stockage, sous-sol, grenier) non équipées de joints.
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Le saviez-vous ?
Les araignées adorent les fuites d'air (pas étonnant, c'est là d'où arrivent leurs proies).
Il est donc facile de regarder dans le voisinage d'une toile d'araignée pour repérer une fuite d'air à traiter.
6/15
Pour approfondir...
Il est possible de louer une caméra thermique afin d'identifier visuellement les fuites.
7/15
Dans le cadre de votre activité, vous avez peut-être besoin d'ouvrir fréquemment les portes, d'avoir des systèmes de ventilation, etc...
8/15
Il est donc maintenant nécessaire de comprendre si ces contraintes entraîne un inconfort pour les occupants clients ou collaborateurs.
C'est ce que l'on appelle les points d'inconfort potentiels.
9/15
Pour cette partie...
Il est nécessaire de faire le bilan thermique de l'établissement.
Les principales déperditions sont majoritairement autour des menuiseries, des ouvrants et des portes.
10/15
Comment procéder ?
La méthode est simple.
Il y a 3 étapes à suivre :
1 : La chasse aux fuites inutiles.
2 : On coupe la ventilation quand on n'est pas là.
3 : On identifie les points faibles.
3 : On identifie les points faibles.
11/15
Les entrées d'air sont à limiter au strict nécessaire.
Attention à bien penser au rideau d'air chaud (dans une boutique par exemple).
Si les températures de parois sont trop froides, on isole !
12/15
Maintenant que nous avons traité les points faibles, quelles sont les autres pistes d'amélioration énergétique ?
13/15
1 - Identifier les espaces chauffés et non chauffés
2 - Isoler les murs et les cloisons en contact avec les espaces non chauffés
3 - Changer les joints des menuiseries
14/15
4 - Changer les fenêtres si vraiment elles ne peuvent pas être rénovées
5 - Traiter les fuites d'air vers l'extérieur ou vers les locaux non chauffés
6 - Ventiler uniquement les espaces obligatoires (sanitaires, cuisines, etc)
15/15
7 - Ne chauffer que les zones nécessaires
8 - Utiliser une source de chauffage adaptée aux enjeux
-
Je repère les points faibles de mon bâtiment
-
Je fais la chasse aux fuites inutiles et je recense tous les points faibles de mon activité
-
J'applique des règles de sobriété
exemples de bonnes pratiques
Si besoin, passez à la fibre si ce n'est pas fait
Utiliser du reconditionné lorsque cela est possible
Eteindre ses appareils dès que possible et ne pas les laisser en veille
Eteindre les écrans non indispensables
Stopper les emails avec des pièces jointes
Déployer un outil de travail collaboratif
Réduire le volume des données
Eteindre ses appareils dès que possible et ne pas les laisser en veille
Eteindre les écrans non indispensables
Stopper les emails avec des pièces jointes
Déployer un outil de travail collaboratif
Réduire le volume des données
Utiliser un moteur de recherche éco-responsable (exemple : Lilo ou Ecogine).
Mutualiser les imprimantes pour en reduire le nombre
Préférer les ordinateurs portables, moins énergivores que les ordinateurs fixes
Mutualiser les imprimantes pour en reduire le nombre
Préférer les ordinateurs portables, moins énergivores que les ordinateurs fixes
Lorsqu'il n'est pas possible d'acheter en reconditionné, pensez à investir dans du matériel informatique moins énergivore et plus écologique (label « energy star », EPEAT, label TCO).
Ils l'ont fait
Alain, gérant d'une PME à Grenoble : "Nous avons mis en place plusieurs actions afin d'essayer de limiter nos consommations d'énergie fantômes liées au numérique, comme éteindre les ordinateurs et les écrans en fin de journée, couper les appareils et ne pas les laisser en veille (box, TV, ordinateur, imprimante, etc), éteindre les écrans d'information non essentiels comme à l'accueil."
Au final, sa consommation d'électricité liée au numérique a baissé de 20%. De plus, ses appareils bénéficient d'une plus longue durée de vie.
Au final, sa consommation d'électricité liée au numérique a baissé de 20%. De plus, ses appareils bénéficient d'une plus longue durée de vie.
ÉCLAIRAGE
par Aymeric Thomas
Cascadeur énergéticien
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L'éclairage représente en moyenne 20 % des consommations d'électricité. Cet usage peut même être égal au chauffage dans les commerces disposant d'un "éclairage d’accentuation", c'est-à-dire un éclairage destiné spécifiquement à mettre en valeur des produits.
2/18
Première étape, on part à la chasse aux fantômes, toutes ces consommations inutiles quand l'entreprise n'est pas en activité.
3/18
Là encore, il n'y a pas de demie-mesure, l'éclairage est éteint en dehors des heures d'ouverture.
L'entreprise est fermée = l'éclairage est éteint.
4/18
Selon le cabinet Optinergie, l'extinction des bureaux la nuit peut permettre d'économiser jusqu'à 5% de la consommation électrique.
5/18
Pour éteindre les lumières :
- Gestion manuelle :
- Gestion manuelle :
couper l'éclairage avant de partir en faisant le tour des bureaux et autres pièces de l'entreprise.
ou...
ou...
6/18
- Gestion pilotée :
par des détecteurs de présence qui allument et éteignent automatiquement, par un système de temporisation qui coupent l'éclairage après une durée déterminée.
7/18
Et les enseignes lumineuses ?
Éteindre les enseignes lumineuses ou les façades des bâtiments entre 1h et 6h du matin, permet de réaliser des économies d'énergie en plus de favoriser la biodiversité.
8/18
L'éclairage doit être au plus près du poste de travail de la personne ou des produits à mettre en valeur.
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Analysons de plus près votre éclairage utile :
• éclairage productif
• éclairage improductif
Alors que l'éclairage productif génère de la valeur ajoutée, l'éclairage improductif, ou secondaire, quand à lui, n'a pas besoin de fonctionner en permanence.
11/18
Quelques exemples :
Éclairage productif : mise en valeur des produits, l'éclairage de la boutique ou l'éclairage des bureaux. Ces zones génèrent de la valeur ajoutée.
Éclairage improductif : zones de passage (couloirs, sanitaires, locaux sociaux), zones de stockage. Ces zones n'ont pas besoin d'être éclairées en permanence.
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Le saviez-vous ?
L’éclairage est directement lié au chauffage et à la climatisation.
La totalité de la puissance électrique consommée par l’éclairage est converti en chaleur, c’est un chauffage indirect en hiver mais une source d’apport de chaleur non négligeable en été.
13/18
Réduire la puissance de l’éclairage aura donc des effets toute l’année !
Assurez-vous que vos lumières ne soient pas trop fortes ou trop faibles pour les activités qui ont lieu dans chaque pièce de votre entreprise. Parfois, un niveau minimal suffira et vous permettra de faire des économies importantes sur votre facture.
Assurez-vous que vos lumières ne soient pas trop fortes ou trop faibles pour les activités qui ont lieu dans chaque pièce de votre entreprise. Parfois, un niveau minimal suffira et vous permettra de faire des économies importantes sur votre facture.
14/18
Jusqu'à présent, vous avez travaillé sur le comportement des utilisateurs avec de belles économies générées.
Le temps d'utilisation de l'éclairage a bien diminué mais vous ne l'avez pas arrêté complètement pour autant.
Alors regardons de plus près l'éclairage productif.
15/18
Astuce n°1 :
Utilisez des ampoules à basse consommation : elles sont plus chères que les ampoules traditionnelles, mais elles permettent d'économiser jusqu'à 75 % d'énergie et peuvent ainsi réduire la facture énergétique de votre entreprise.
Utilisez des ampoules à basse consommation : elles sont plus chères que les ampoules traditionnelles, mais elles permettent d'économiser jusqu'à 75 % d'énergie et peuvent ainsi réduire la facture énergétique de votre entreprise.
16/18
Astuce n°2 :
Utilisez des minuteries automatiques et des capteurs de présence !
Cela permet de contrôler automatiquement l’allumage et l’extinction des systèmes d’éclairage.
Utilisez des minuteries automatiques et des capteurs de présence !
Cela permet de contrôler automatiquement l’allumage et l’extinction des systèmes d’éclairage.
17/18
Astuce n°3 :
Dites non aux lampadaires halogènes ! Bien qu’elles offrent une très bonne qualité lumineuse, cette technologie est particulièrement gourmande en électricité. Préférez une source fluorescente compacte (CFL) ou LED si possible !
Dites non aux lampadaires halogènes ! Bien qu’elles offrent une très bonne qualité lumineuse, cette technologie est particulièrement gourmande en électricité. Préférez une source fluorescente compacte (CFL) ou LED si possible !
18/18
Pour finir, pensez à positionner vos postes de travail à proximité
de l'éclairage naturel.
Afin de profiter au maximum de cet apport naturel !
-
J'éteins l'éclairage quand l'entreprise n'est pas en activité
-
Je coupe l'éclairage dans les zones improductives
-
Je choisis les équipements les plus adaptés et j'aménage mon espace pour profiter de la lumière naturelle
exemples de bonnes pratiques
Éteindre les zones inoccupées
Adapter les éclairages aux activités
Nettoyer les éclairages
Profiter de la lumière naturelle
Nettoyer régulièrement les vitrages accessibles
Couper les affichages et éclairages non essentiels
Installer des LED
Installer des détecteurs de luminosité
Installer des détecteurs de présence
Nettoyer les éclairages
Profiter de la lumière naturelle
Nettoyer régulièrement les vitrages accessibles
Couper les affichages et éclairages non essentiels
Installer des LED
Installer des détecteurs de luminosité
Installer des détecteurs de présence
Réaliser un zoning de l'éclairage
Ils l'ont fait
Alain, gérant d'une PME à Grenoble : "Nous avons mis en place plusieurs actions afin d'essayer de limiter nos consommations d'énergie fantômes liées au numérique, comme éteindre les ordinateurs et les écrans en fin de journée, couper les appareils et ne pas les laisser en veille (box, TV, ordinateur, imprimante, etc), éteindre les écrans d'information non essentiels comme à l'accueil."
Au final, sa consommation d'électricité liée au numérique a baissé de 20%. De plus, ses appareils bénéficient d'une plus longue durée de vie.
Au final, sa consommation d'électricité liée au numérique a baissé de 20%. De plus, ses appareils bénéficient d'une plus longue durée de vie.
CHAUFFAGE
par Aymeric Thomas
Cascadeur énergéticien
1/13
1 kW de puissance de chauffage en moins dans vos locaux
représente une réduction de consommation d'environ 4500 kWh sur une année soit 800 € économisés en 2023
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2/13
3/13
Le chauffage représente aujourd’hui le poste énergétique le plus élevé de nos entreprises (hors process).
Il totalise à lui seul près de 30 % de nos consommations et donc de nos charges énergétiques.
4/13
Une seule règle :
" si l'entreprise est fermée, on limite voir même on coupe le chauffage."
En effet, le chauffage sert avant tout à assurer aux occupants le confort. Donc l’entreprise est fermée, il n'y aucun confort à apporter = pas de chauffage !
5/13
Question chauffage, limiter les consommations fantômes vous permet de réduire jusqu'à 30 % vos besoins énergétiques.
6/13
Pour couper le chauffage :
- Gestion manuelle :
- Gestion manuelle :
C'est qui le pilote ?
Certaines entreprises nomment un responsable énergie qui a la mission de piloter cette action
(allumage de votre chaudière centrale ou appareils individuels).
(allumage de votre chaudière centrale ou appareils individuels).
7/13
- Gestion pilotée :
Et si vos équipements de chauffage géraient en toute autonomie leurs phases de fonctionnement/arrêt sans que vous ayez à vous en soucier ?
8/13
Parlons maintenant chauffage utile. Utile car il sert l'activité de votre entreprise.
Vous avez suivi les recommandations d’usage sur la température de consigne et avez réglé votre thermostat sur 19°C.
9/13
Vous pouvez le classer ainsi :
• chauffage productif
• chauffage improductif
Alors que le chauffage productif est nécessaire car il sert votre activité en apportant du confort aux équipes et à vos clients...
10/13
...le chauffage improductif quand à lui peut être compris comme un chauffage apporté dans des zones qui n'ont pas forcément besoin de confort.
11/13
Analysez ces 2 aspects :
- Espaces : recensez chaque zone de votre entreprise / boutique et classifiez la selon le critère productif / improductif.
- Temps : recherchez pour chaque zone s’il existe des périodes improductives.
12/13
Vous obtenez ainsi une vision globale de l'ensemble des espaces de votre entreprise précisant les zones et les périodes de chauffage improductif.
13/13
Vous êtes plutôt fioul, gaz ou électricité ?
Chaque source d'énergie a sa solution chauffage. Mais aujourd'hui les plus grandes évolutions en matière d'efficacité énergétique sont à chercher du côté des solutions électriques et des pompes à chaleur.
-
Je coupe le chauffage quand l'entreprise n'est pas en activité
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Je coupe le chauffage dans les zones improductives
-
Je choisis les équipements les plus adaptés
exemples de bonnes pratiques
Définir les consignes de chauffage
Couper le chauffage en période d'inoccupation
Fermer les portes pour conserver la chaleur
Régler les thermostats du chauffage
Dégager l'espace autour des radiateurs pour favoriser le rayonnement
Entretenir régulièrement votre chaudière
Installer des robinets thermostatiques sur les radiateurs
Installer un thermostat programmable
Remplacer les radiateurs anciens / vieille chaudière à gaz
Fermer les portes pour conserver la chaleur
Régler les thermostats du chauffage
Dégager l'espace autour des radiateurs pour favoriser le rayonnement
Entretenir régulièrement votre chaudière
Installer des robinets thermostatiques sur les radiateurs
Installer un thermostat programmable
Remplacer les radiateurs anciens / vieille chaudière à gaz
Investir dans une pompe à chaleur
Isoler le réseau d'eau chaude
Isoler le réseau d'eau chaude
Ils l'ont fait
Céline, responsable d'une épicerie : ""Je consommais chaque année environ 4000 L de fioul pour chauffer les 800 m2 de ma boutique ouverte 6 jours par semaine. C'était vraiment énorme ! Alors, l'an passé, j'ai décidé de faire la chasse aux consommations nocturnes en coupant ma chaudière la nuit et les jours de fermeture...""
Céline s'est habituée à couper le chauffage 2 heures avant la fermeture et elle le rallume 1 heure avant l'ouverture. Sur 6 mois de chauffe elle a ainsi pu économiser 2000 heures de consommation soit près de la moitié du temps.
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Le Digita'Live est un moment d'échange convivial de
30 minutes avec un consultant expérimenté.
Ce moment vous permet de poser vos questions et d'avoir un retour rapide. Si vous n'avez pas de questions, c'est un bon moyen de découvrir de nouvelles astuces de la part d'autres apprenants.
30 minutes avec un consultant expérimenté.
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